Ils sont dyslexiques, dyspraxiques, dyscalculiques, mais aussi intellectuellement brillants. Comment expliquer ce paradoxe ? À la lumière des recherches récentes en neurosciences, Michel Habib propose un état des lieux des définitions et relations réciproques entre haute intelligence et troubles dys.
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On rencontre de plus en plus souvent des enfants, adolescents et adultes « HPI-Dys » (les anglo-saxons parlent de twice exceptionals), qui présentent des compétences supérieures dans certains domaines, et des difficultés dans d’autres. Cette double occurrence intrigue. Et si douance et troubles dys étaient liés ? Et s’il s’agissait d’effets conjoints d’un même mécanisme évolutif de l’intelligence humaine ? (4e de couverture)